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Comment un mandat CSE peut booster une carrière – Les Echos

Henri Vidalinc, Président du groupe Grant Alexander, partage son point de vue sur la prise de mandat au sein d’un Comité Social et Économique (CSE) dans un article publié par les Echos qui recueille les témoignages de salariés élus et d’experts RH sur le sujet. 

 

« J’aurais peut-être eu ma promotion sans cela, mais… » : comment un mandat CSE peut booster une carrière.

 

 

“Ils sont un peu plus de 300.000 en France à être élus du personnel. Un mandat de quatre années qui peut se révéler intéressant à plus d’un titre. 

« Fais attention, tu vas devenir le gilet jaune de ta boîte ! » Voilà les retours des proches d’Audrey lorsque cette cadre leur a annoncé son envie de se présenter aux élections du CSE, le comité social et économique, cette instance qui permet de représenter les salariés au sein de l’entreprise. Audrey travaille dans un groupe de luxe, qu’elle a rejoint à sa sortie d’école de commerce il y a quatre ans. Cette idée lui est venue progressivement. « J’avais simplement envie de participer au fonctionnement de l’organisation. C’est un peu comme être délégué de sa classe à l’école », résume-t-elle en souriant.

« Nous sommes plutôt bien perçus par les chefs au sein de l’entreprise », estime la jeune cadre. Loin de faire mauvaise impression auprès des chefs, Audrey voit cet engagement « plutôt comme un tremplin », car il permet de « développer son réseau dans l’entreprise auprès des salariés, RH, managers, de tous les services et départements ».

Il faut [néanmoins] bien réfléchir au timing si on veut s’engager. Car c’est un vrai engagement.

Ce point est essentiel aux yeux d’Henri Vidalinc, président du groupe de conseil RH Grant Alexander : « Avant de penser à devenir élu, il est essentiel de bien maîtriser son poste et ses missions. C’est une expérience forte, cela permet de se faire repérer, certes. Mais attention de ne pas s’enfermer dans ce rôle ou devenir un professionnel du sujet ». Le risque est de se laisser aussi embarquer dans cette aventure, en y mettant toute son énergie. Et d’en oublier sa carrière…”

 

Lire l’article sur le site des Echos (accès restreint aux abonnés)